Wout van Aertest l’un des coureurs qui marque cette décennie et l’un des plus victorieux sur différents profils et spécialités. Lors d’une interview à la RTBF, il s’est confié sur ceux qui l’entourent ou qui l’ont entouré. De sa femme De Sarah De Bie à Remco Evenepoel en passant par Mathieu van der Poel, il donne son avis sur 10 personnes de son entourage à la RTBF
Sur Sarah De Bie, sa femme: » Ma femme, mon amour, la mère de mon fils Georges, la personne la plus importante de ma vie ! Elle est là tous les jours pour moi, quand je gagne, quand je perds, quand je tombe. C’est elle qui me connaît le mieux. Que ce soit sur le plan privé ou sur le plan professionnel »
Sur Remco Evenepoel: ‘Remco, c’est la jeune star du cyclisme ! Il est très fort et très mature pour un gars de seulement 21 ans . Il est impressionnant. Après les Championnats du monde, nous avons tous les deux pris quelques jours de vacances. Mais là, le temps est venu de parler et de penser au futur ! Nous allons nous voir et discuter car nous savons très bien tous les deux que nous disputerons encore des courses et des championnats ensemble les prochaines années. Il est important pour tourner la page »
Mathieu van der Poel: » Je ne connais pas ! (Rires)) Plus sérieusement, comme tout le monde le sait, Mathieu est mon plus grand adversaire, en cyclo-cross et sur la route. Il a atteint un très haut niveau. La carrière que je fais, je la lui dois en partie car la concurrence me pousse. Si ça n’avait pas été lui, ça aurait été quelqu’un d’autre évidemment. Mon but est toujours de battre les gars difficiles à battre. Et pour moi, le plus difficile à battre… c’est Mathieu ! «
Marc Lamberts, son coach: » C’est mon entraîneur, mon premier et mon seul entraîneur ! On a entamé notre collaboration quand j’étais espoir première année. Avant cela, il n’y avait que l’amusement qui comptait pour moi. On a toujours eu une bonne relation. Marc me connaît par cœur. Il sait ce qu’on doit faire pour moi performer et devenir encore plus fort. Nous sommes en communication permanente. Je ne changerai jamais d’entraîneur. C’est vrai qu’il me fait souffrir sur le vélo mais c’est un passage obligatoire pour atteindre le top niveau ! «