Dans la chronique de cette semaine sur le Het Nieuwsblad, le boss de la Deceuninck Quick Step Patrick Lefevere, a parlé de la force mentale de certains de ces coureurs actuels ou passés. Mais derrière tout ça, il en veut surtout à l’Irlandais Sam Bennett qui va bientôt annoncé son retour au sein du team Bora Hansgrohe qu’il avait pourtant critiqué il y a 2 ans. Patrick Lefevere:
» Je n’ai jamais eu de coureurs mentalement instables dans mon équipe, mais il y en avait certainement des« spéciaux ». Remy Cavagna n’est pas un gars nerveux, son passe-temps est la pêche, mais parfois le stress peut l’atteindre. Au début, Remy avait peur de prendre une bouteille ou même de lever la main lorsqu’il avait gagné. Tout est entre les oreilles. »
Puis ce dernier a parlé de Sam Bennett. Le Boss de la meut a même utilisé des comparaisons hasardeuses avec la violence domestique faîtes aux femmes.
« Et le dernier coureur mais non le moindre : Sam Bennett. Pour moi, il est le summum de la faiblesse mentale. Quitter Bora et gémir à tout le monde sur la façon dont il a été » intimidé « , qu’il était presque brisé et déprimé. Seulement pour revenir quatorze mois plus tard. C’est la même chose que les femmes qui rentrent encore chez elles après avoir été victime de violences conjugales. »
Des propos inappropriés et quelques peu hasardeux de la part du manager Belge
Durant le Tour de France, Patrick Lefevere avait déjà attaqué Sam Bennett en raison de son départ
« J’ai appris depuis que je suis gamin que le gars qui te paie est le patron et il mérite le respect. Il ne m’a pas montré de respect. C’est plus dommage pour lui que pour moi. Si vous vous battez comme un diable et pleurez comme un enfant parce que Bora-Hansgrohe vous traite mal et qu’après presque 14 mois, vous signez à nouveau avec l’équipe, cela en dit plus sur lui que sur moi. J’ai des couilles, pas lui »