Si Tadej Pogacar, Mathieu van der Poel et Tom Pidcock sont les favoris de Milan Sanremo. Mais quelques uns pourraient aussi tirer leur épingle du jeu comme Mads Pedersen et Jonathan Milan.
Pour Pedersen a montré sur Paris-Nice que l’on pouvait compteur sur lui.
« Je me sens bien et aussi dans les ascensions. Mais je pense qu’il faut tenir compte du fait que sur Paris-Nice, la météo était mauvaise durant les ascensions, ce qui m’aide bien sûr beaucoup quand il fait froid et qu’il pleut comme ça. Au final, j’ai les bonnes jambes pour les montées et je suis content de ma forme actuelle.
Je ne crains absolument pas que mes progrès en montée se soient faits au détriment de mon sprint. Il faut aussi tenir compte du fait que je n’ai jamais été un pur sprinteur. Alors, si on me compare à Tim Merlier ou Jasper Philipsen, à quand remonte la dernière fois que je les ai battus sur un sprint plat ? Il faut donc garder cela à l’esprit : je ne suis pas un pur sprinteur comme Jonny (Jonathan Milan) «
Aider son coéquipier Milan
» Plus on a de gars dans le final, mieux c’est. Ce serait donc idéal pour nous d’avoir un maximum de gars au sommet de la Cipressa, et surtout après le Poggio. C’est bien d’arriver à Sanremo avec une équipe aussi performante. Ce n’est un secret pour personne que Jonny est le plus rapide d’entre nous au sprint, donc si ça se joue comme ça à l’arrivée, on sprinte bien sûr pour Jonny.
C’est sûr que si quelqu’un voit que Jonny est dans le groupe en bas du Poggio, il ne voudra pas le mener jusqu’à la ligne d’arrivée. J’espère que Jasper et moi serons là aussi, et il faudra couvrir ceux qui veulent partir avant l’arrivée. Si c’est un sprint, c’est pour Jonny «
Tadej Pogacar
» Si Tadej Pogacar part tôt, le final sera plus long. Je ne serais pas surpris qu’il s’attaque sur la Cipressa et qu’il veuille aller loin ensuite. Cela signifie que nous essaierons de le suivre et qu’après Cipressa, le groupe sera plus restreint à l’approche du Poggio. »